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THE THIRD HELLENIC REPUBLIC (1974 - ?)
Προσωπική σημαία τοῦ Βασιλέως Γεωργίου Αʹ τῆς Ἑλλάδος (1863-1913). → EN - Personal flag of King George I of the Hellenes (1863-1913); FR - Pavillon personnel du roi Georges I de Grèce (1863-1913); DE - Persönliche Flagge von König George I von Griechenland (1863 – 1913); ES - Bandera Personal del rey Jorge I de los Helenos (1863-1913); PO - Bandeira pessoal do Rei George I dos Helenos (1863-1913); IT - Bandiera personale di re George I di Elleni (1863-1913); RU - Личный флаг короля Георга I эллинов (1863-1913).
Etendard royal (1935-1967).
LA CHUTE DE LA MONARCHIE EN GRÈCE (1974) – L’INSTAURATION DE LA TROISIÈME RÉPUBLIQUE HELLÉNIQUE Après la chute de la junte militaire qui a dirigé
le pays de 1967 à 1974, la question de la forme de gouvernement est restée non résolue. La junte avait déjà organisé un plébiscite en 1973, qui a abouti à l’instauration de la République.
Cependant, après la chute en août 1974 du régime militaire, le nouveau gouvernement dirigé par Constantin Karamanlis, revenu de son exile à Paris - au lieu de rappeler le roi Constantin qui vivait aussi en exile à Londres - a décidé d'organiser un
autre étant donné que les actes juridiques décidés par la junte étaient considérés comme illégaux. Un référendum a été tenu en Grèce le 8 décembre 1974.
Le référendum envisageait deux questions: à un niveau institutionnel, c.à.d.
la façon d'élire le chef de l'Etat (élu, non héréditaire) et à un niveau politique, c.à.d. d’empêcher le retour du roi Constantin. Constantin II, l'ancien roi, a été interdit par le nouveau gouvernement de revenir en Grèce pour participer à la campagne du référendum.
Le roi avait été en exil depuis son coup d'Etat avorté pour renverser les Colonels en décembre 1967 et, contrairement aux autres grecs qui avaient fui le pays pour aller vivre à l'étranger et ensuite ils sont revenus,
la famille royale grecque n'était pas autorisée à revenir au pays quand la junte s'est effondrée. La campagne électorale a été principalement fondée sur des discours à la télévision. Les partis politiques se sont abstenus de la campagne référendaire et
donc les discours télévisés ont été limités entre individus représentant l'une ou l'autre perception, plutôt qu'entre les représentants des parties. Des personnalités de gauche connues
pour leurs sentiments antiroyalistes ont mené une campagne virulente contre la monarchie.
Comme voulu par le gouvernement, la campagne du référendum a eu lieu sans le principal intéressé, le roi Constantin, même s'il est peu probable que le roi aurait agi comme un ordinaire militant politique, participant à
des réunions où des slogans sont scandés. Finalement, 1.443.804
de grecs (30,8% des électeurs) ont soutenu la monarchie, tandis que 3.236.345 (69,2% des électeurs) ont rejeté l'idée d'une "Démocratie couronnée", que le roi appelait comme étant son concept
pour une monarchie grecque renouvelée. Le taux de participation était de 75,6%, 1.328.665 de grecs n'ayant pas exercé leur droit de vote. La grande majorité des jeunes séduits par des slogans gauchistes amplement diffusés suite à la chute de la junte ont voté contre
la monarchie. Le résultat a été aussi influencé par le fait que presque tous les grands partis politique, y compris le parti au pouvoir de la droite «Nouvelle démocratie» du premier ministre Constantin Karamanlis,
étaient en faveur de l’idée pour que la Grèce devienne une République.
Avec l'annonce des résultats, Constantin Karamanlis a déclaré «Aujourd'hui un cancer a été enlevé du corps de la nation" !!! Cette déclaration est au moins surprenante si l'on considére que
l'ascension politique de Constantine Karamanlis dans les années cinquante a été en grande partie due à l'appui reçu du roi Paul et de la Reine Frédérique, parents du roi Constantine. Quatorze ans plus tard, en février 1988, dans une interview à Londres, Constantin Mitsotakis (premier ministre
de Grèce, de 1990 à 1993) - alors qu'il se définit lui-même comme un antiroyaliste convaincu - décrit la manière dont le référendum a été organisé avec la désignation "injuste". Plus tard, Karamanlis lui même a été critiqué pour son double jeu sur la question du référendum. En 1981, Andréas Papandreou a remporté les élections et son opposition virulente à la monarchie grecque a conduit
à la nationalisation, en 1993, de l'actif de l'ancienne famille royale et le retrait de la nationalité grecque. L'ex-roi a eu recours à la Cour européenne des droits de l'homme, qui lui a donné raison et condamné
le gouvernement grec à indemniser la famille royale pour la confiscation de ses biens en 1993. Constantine, à son tour, a annoncé la création de la "Fondation Maria Anna", visant d'allouer les fonds en question au peuple grec
pour des «catastrophes naturelles extraordinaires» et des causes charitables.
En conclusion, le comportement des dirigeants politiques grecs à l'égard du roi Constantin, ex-chef de l'Etat, n'a pas été ni loyal, ni correct, ni décent . "Certains pays ont perdu leur monarchie, et pourtant, ils ont encore une famille royale». Cela est certainement
vrai pour la Grèce. Contrairement à des nombreux monarques modernes, mais comme c’est le cas de la Reine Elizabeth II d'Angleterre, le roi Constantin de Grèce a été oint à son couronnement, comme l’étaient
jadis les rois de l'ancien Testament. En conséquence, il y a de nombreux ecclésiastiques qui considèrent que Constantin continue comme roi. Il est à noter que, bien qu'il ait accepté le résultat du référendum,
le roi Constantin n'a pas abdiqué. Les citoyens grecs qui ont suivi les directives
des partis politiques et remplacé à la tête de l'Etat le roi héréditaire par des politiciens élus tireront postérieurement les conséquences de leur choix, losque une succession de politiciens corrompus
conduiront progressivement le pays à une crise sociale, morale, économique et financière sans précédent. En réalité, les grecs ont substitué la monarchie par la dynastie des familles «Karamanlis» et «Papandreou», qui ont gouverné alternativement la Grèce
(avec des rares exceptions) depuis 1974. Le président de la république a été dépouillé de tout réel pouvoir, son rôle étant désormais purement décoratif.
Les rois de Grèce (1864 - 1974). De haut vers le bas et de gauche à droite: Georges I, Constantin I, Alexandre I, Paul I, Georges II, Constantin II.
The State Coat of Arms (1863-1973).
THE FALL OF MONARCHY IN GREECE (1974) - THE ESTABLISHMENT OF THE THIRD HELLLENIC REPUBLIC After the collapse of the military junta that ruled the country from 1967 to 1974, the issue of the form of government remained unsolved. The Junta had already staged a plebiscite
in 1973, which resulted in the establishment of the Republic. However, after the fall in August 1974 of the military regime, the new government led by Constantine Karamanlis who returned from his exile in Paris -
instead of recalling King Constantine who was also living
in exile in London - decided to hold another one, as Junta legal acts were considered illegal. A referendum was held in Greece on 8 December 1974. The referendum was considering two issues: at an institutional level, the way electing the head of State (elected, not hereditary) and at a political level, the non-return of King Constantine.
Constantine II, the former King, was banned by the new government from returning to Greece to campaign
in the referendum. He had been in exile since his aborted coup to overthrow the Colonels in December 1967 and, unlike other Greeks who had fled the country to live abroad and then returned, the Greek Royal Family was not allowed to return, when the Junta regime
collapsed. The election campaign was mainly based on speeches in television.
The political parties abstained from the referendum campaign and so the televised speeches dropped between individuals representing one or the other perception rather than between representatives of the parties. Left-wing personalities known for their antiroyalistes
feelings led a virulent campaign against the Monarchy. As decided by government,
he referendum campaign took place without the main person concerned, King Constantine, although it is unlikely that the King himself would have behaved like a usual political campaigner attending meetings and shouting slogans. In the end 1,443,804 Greeks (30,8% of voters) backed the Monarchy, while 3,236,345 (69.2% of voters) rejected the idea
of a “Crowned Democracy”, as the King had called his concept of a renewed Greek Monarchy. The turnout was 75,6%, 1,328,665 Greeks did not cast their vote in the polls. The vast majority of young people seduced by leftist slogans widely diffused after the fall of the Junta voted against the Monarchy. The result was also
shaped by the fact that almost all major parties, including ruling right-wing New Democracy party of Prime Minister Constantine Karamanlis, were in favor of Greece becoming a republic. With the announcement of the results, Constantine Karamanlis said «Today a cancer was taken away from the body of the nation". This statement
is at least surprising taking into account the fact that the political ascendance of Constantine Karamanlis in the fifties was largely due to support given by King Paul and Queen Frederica, parents of King Constantine. Fourteen years later, in February 1988, in an interview in London, Constantine Mitsotakis (Prime minister of Greece from 1990
to 1993) - although he defines himself a convinced antiroyalist - described the manner in which the referendum was held with the designation "unfair". In 1981, Andreas Papandreou won the elections and his virulent opposition to the Greek Monarchy led to nationalization, in 1993, of the assets
of the former Royal family and the withdrawal of Greek nationality. The former King had recourse to the European Court of human rights, which condemned the Greek Government to compensate the Royal family for the confiscation of its property in 1993.
Constantine, in turn, announced the creation of the "Anna Maria Foundation", to allocate the funds in question back to the Greek people for use in "extraordinary natural disasters" and charitable causes. In conclusion, the behaviour of the Greek political leadership against King Constantine, former head of the State, has not been fair, correct
or decent. “Some countries have lost their Monarchy, yet, they still have
a Royal Family”. That is certainly true for Greece. Unlike many modern Monarchs, but as with Queen Elizabeth II of England, King Constantine was anointed at his coronation, as were the Kings of the Old Testament. As a result, there are
many Churchmen who consider that Constantine continues as King. It should be noted that, although he accepted the outcome of the referendum, King Constantine has not abdicated. Greek citizens who have followed the guidelines of political parties and replaced at the head of the State the hereditary King by elected politicians would subsequently suffer
the consequences of their choice, when a succession of corrupt politicians will gradually lead the country to an unprecedented social, economic and financial crisis. In fact, the Greeks have substituted the monarchy by the dynasty of the "Karamanlis" and "Papandreou" families, who alternately ruled the country (with a few exceptions)
since 1974. The president of the Republic was stripped of any real power, his role is now purely decorative.
Photoshop image from King Constantine II of Greece.
Coat of arms of the King of the Hellenes (House of Glücksburg).
LA CAÍDA DE LA MONARQUÍA EN GRECIA (1974) - LA CREACIÓN DE LA TERCERA REPÚBLICA HELÉNICA Tras
la caída de la junta militar que gobernó el país desde 1967 a 1974, permaneció sin resolver la cuestión de la forma de gobierno. La Junta ya había efectuado un plebiscito en 1973 que resultó en el establecimiento
de la República. Sin embargo, después de la caída en agosto de 1974 del régimen militar, el nuevo gobierno bajo Constantino Karamanlis, quien regresó
de su exilio en París - en vez de pedir al rey Constantino, quién vivía en el exilio en Londres, regresar también al país - decidió celebrar otro, como los actos
legales de la Junta eran considerados ilegales. Un referéndum se celebró en Grecia el 8 de diciembre de 1974. El referéndum fue lanzado teniendo en cuenta dos aspectos: a nivel institucional, la manera de elegir al jefe de estado (electo, no hereditario) y en el plano político, impedir el regreso del
rey Constantino. La vuelta a Grecia de Constantino II, el rey anterior, para participar
en la campaña del referéndum fue prohibida por el nuevo gobierno. Constantino estuvo en el exilio desde su abortado golpe de estado para derrocar a los coroneles en diciembre de 1967 y, a diferencia de otros griegos que habían huido para
vivir en el extranjero y después volvieron al país, la familia real griega no fue permitida regresar, cuando se derrumbó el régimen de la Junta. La campaña electoral se basó principalmente en discursos en la televisión. Los partidos políticos se abstuvieron de la campaña
del referéndum y así los discursos televisados se arrinconaron entre individuos que representaban la una o la otra percepción, en lugar de entre los representantes de los partidos. Personalidades de izquierda conocidas por sus sentimientos
antimonárquicos condujeron una campaña virulenta contra la monarquía.
Tal como lo decidió el gobierno, la campaña del referéndum se llevó a cabo sin el principal interesado, el rey Constantino, aunque es poco probable que el rey se hubiera comportado como un activista político habitual asistiendo
a las reuniones donde se coreaban consignas. Finalmente 1.443.804 griegos (30,8%
de los votantes) respaldaron la monarquía, mientras que 3.236.345 (69,2% de los votantes) rechazaron la idea de una "Democracia coronada", como el rey había llamado su concepto de una renovada monarquía griega. La participación
fue de 75,6%, 1.328.665 griegos decidieron no emitir su voto en las urnas. La mayoría
de los jóvenes seducidos por consignas izquierdistas ampliamente difundidas después de la caída de la Junta votó en contra de la monarquía. El resultado fue influenciado también por el hecho de que casi todos los grandes
partidos políticos, incluyendo el partido derechista “Nueva democracia” del primer ministro Constantino Karamanlis, estaban a favor de Grecia convertirse en una República. Con el anuncio de los resultados Constantino Karamanlis comentó: “Hoy quitaron un cáncer del cuerpo de la nación".
Esta declaración resulta por lo menos sorprendente recordándose que la ascensión política de Constantino Karamanlis en los años cincuenta fue en gran parte debida al apoyo recibido por el rey Pablo y la reina Federica, padres
del rey Constantino. Catorce años después, en febrero de 1988, en una
entrevista en Londres, Constantino Mitsotakis (primer ministro de Grecia desde 1990 a 1993) - aunque él mismo se define como antimonárquico convencido - describió la manera en que el referéndum se llevó a cabo con la designación
"injusto”. El propio Karamanlis fue posteriormente criticado por su doble juego en la cuestión del referéndum. En 1981, Andreas Papandreou ganó las elecciones y su virulenta oposición a la monarquía griega llevó a la nacionalización, en 1993,
de los activos de la antigua familia real y la retirada de la nacionalidad griega. El ex rey ha recurrido ante el Tribunal Europeo de derechos humanos, que condenó al gobierno griego a indemnizar a la familia real por la confiscación de sus bienes
en 1993. Constantino, a su vez, anunció la creación de la "Fundación Anna María", para asignar los fondos en cuestión atrás al pueblo griego para "catástrofes naturales extraordinarios" y causas benéficas.
En conclusión, el comportamiento de los dirigentes políticos griegos contra el rey Constantino,
ex jefe del estado, no fue ni justo, ni correcto y tampoco decente. "Algunos
países han perdido su monarquía, sin embargo, todavía tienen una familia real". Esto es cierto para Grecia. A diferencia de muchos reyes modernos, pero como con el caso de la reina Elizabeth II de Inglaterra, el rey Constantino fue ungido
en su coronación, como lo fueron los reyes del antiguo testamento. Consecuentemente son muchos los eclesiásticos que consideran que Constantino sigue como rey. Cabe señalar que, aunque aceptó el resultado del referéndum,
el rey Constantino no ha abdicado. Los ciudadanos griegos que han seguido las directrices
de los partidos políticos y sustituido a la cabeza del estado el rey hereditario por políticos electos posteriormente sufrirían las consecuencias de su elección, cuando una sucesión de políticos corruptos gradualmente
conducirá al país a una crisis social, económica y financiera sin precedentes.
De hecho, los griegos han sustituido a la monarquía la dinastía de las familias "Karamanlis" y "Papandreou", que alternadamente gobernó el país (con algunas excepciones) desde 1974. El Presidente de la República fue despojado
del poder real, su papel es puramente decorativo.
Constantin II (en grec : Κωνσταντίνος Β΄ τῆς Ἑλλάδος), né le 2 juin 1940, fut le sixième et dernier roi des Hellènes, du 6 mars 1964 au 1er juin 1973, date à laquelle il fut déposé (sans abdiquer) suite à un coup avorté contre le régime des colonels et la République proclamée. Cette déposition fut confirmée par le référendum de novembre 1974 au déroulement controversé organisé par le gouvernement de Constantin Karamanlis qui a trahi le Roi.
Constantin II succède à son père Paul Ier à la mort de ce dernier, le 6 mars 1964, à l’âge de 24 ans.
King Constantine II saluting the Greek military leadership, 1964.
Constantin dans une spectaculaire démonstration de karaté envers Juan Carlos, future roi d’Espagne, à Athènes, à l’occasion du mariage de ce dernier avec la princesse Sophie de Grèce.
Le roi Constantin II de Grèce (1964 - 1974).
Le roi Paul, le prince héritier Constantin et Constantin Caramanlis.
Accueil populaire enthousiaste du roi Constantin II à Kavala (Macédoine orientale), lors de son coup avorté contre le régime des colonels en décembre de 1967.
Ils ont remplacé le roi par des politiciens...Andréas Papandreou.
Les Grecs ont remplacé la monarchie par la dictature de deux familles "Karamanlis" et "Papandreou" qui se succèdent au pouvoir depuis 1974... Sur la photo, Constantin Karamanlis (à droite) avec Andréas Papandreou (à gauche).
Georges Papandreou Jr (à gauche) avec Costas Karamanlis Jr (à droite).
Pangalos (à droite) et Venizelos (à gauche), ministres en surpoids (obèses) des gouvernements successifs de PASOK.
Venizelos (à gauche) avec Papoulias (à droite), président de la République.
Affiche électorale de Tsipras (politicien de gauche radicale, nouveau favori ascendant des grecs) en langue turque !
King Constantine of Greece and Queen Anne Marie of Greece emerge from the Cathedral following the wedding ceremony of Prince Guillaume Of Luxembourg and Princess Stephanie of Luxembourg at the Cathedral of our Lady of Luxembourg on October 20, 2012 in Luxembourg, Luxembourg.
Victor Garcia de la Concha, Carlos de Borbon Dos Sicilias, Constantine II of Greece, Nicolas Sarkozy, King Juan Carlos I, King Felipe VI of Spain, King Simeon of Bulgaria, Javier Solana, at the Royal Palace on January 16, 2012 in Madrid, Spain.
ΟΙ ΒΑΣΙΛΕΙΣ ΤΩΝ ΕΛΛΗΝΩΝ
ΟΙ ΒΑΣΙΛΕΙΣ ΤΩΝ ΕΛΛΗΝΩΝ. LES ROIS DE GRÈCE. THE GREEK KINGS. DIE KÖNIGE VON GRIECHENLAND. LOS REYES DE GRECIA.OS REIS DA GRÉCIA. IL RE DI GRECIA. ГРЕЧЕСКИХ КОРОЛЕЙ.
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